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  • Poils du visage : causes et solutions naturelles
  • Poils du visage : causes et solutions naturelles


    Comprendre la pilosité faciale chez la femme

    La présence de poils sur le visage que ce soit un duvet léger sur la lèvre supérieure, des poils plus marqués au menton ou des favoris indésirables est une réalité pour des millions de femmes.

    Contrairement à une idée reçue, ce phénomène n’est pas rare, ni forcément lié à une mauvaise hygiène ou à un manque d’entretien.
    Il s’inscrit dans un cadre physiologique et hormonal parfaitement normal, même s’il peut devenir source de complexe.

    On distingue deux grands types de pilosité faciale :

    • L’hirsutisme : croissance de poils terminaux (épais, foncés) dans des zones androgéno-dépendantes (menton, lèvre supérieure, joues basse).
    • L’hypertrichose : pilosité généralisée, non liée aux androgènes, souvent héréditaire ou induite par certains médicaments.

    L’hirsutisme, bien qu’il puisse être bénin, mérite une attention particulière lorsqu’il apparaît de façon soudaine ou s’accompagne d’autres symptômes (acné, chute de cheveux, irrégularité menstruelle).



    Les causes fréquentes des poils faciaux chez la femme

    Le rôle des hormones androgènes

    Les poils du visage sont principalement stimulés par les androgènes, un groupe d’hormones sexuelles dont la testostérone est la plus connue.

    Chez la femme, ces hormones sont produites en petites quantités par les ovaires et les glandes surrénales.

    Lorsque leur taux augmente ou que la sensibilité des follicules pileux augmente, on observe une pilosité plus marquée, surtout dans les zones dites « masculines ».

    Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)

    Le SOPK est l’une des causes les plus fréquentes d’hirsutisme chez les femmes en âge de procréer. Affectant environ 1 femme sur 10, il se caractérise par :

    • Des cycles menstruels irréguliers
    • Une résistance à l’insuline
    • Une production excessive d’androgènes

    Les femmes atteintes de SOPK rapportent souvent une pilosité faciale qui résiste aux méthodes classiques d’épilation, car elle est constamment stimulée par l’activité hormonale.

    La ménopause et la périménopause

    Avec l’âge, le rapport œstrogènes/androgènes change.

    La baisse des œstrogènes rend l’action des androgènes plus dominante, ce qui peut expliquer l’apparition ou l’aggravation de poils au menton ou à la lèvre supérieure à partir de 45 ans.

    Ce phénomène est tout à fait naturel et ne reflète pas un déséquilibre pathologique.

    Le stress chronique et l’alimentation

    Le stress prolongé augmente le cortisol, qui à son tour peut stimuler la production d’androgènes. De même, une alimentation riche en sucres rapides peut exacerber la résistance à l’insuline, aggravant indirectement la pilosité chez les femmes prédisposées.



    Pourquoi le visage répond plus rapidement aux soins anti-repousse

    Contrairement aux jambes ou aux aisselles, les poils du visage sont souvent vellus : fins, clairs, peu pigmentés.
    Ce type de poil a un cycle de croissance plus court (4 à 6 semaines) et une structure moins résistante.
    Cela rend la zone particulièrement réceptive aux traitements locaux qui agissent au niveau du follicule.

    De plus, la peau du visage est plus fine, ce qui favorise la pénétration des actifs. Enfin, l’application étant quotidienne (matin et soir), la régularité est plus facile à maintenir que sur des zones plus grandes.

    Selon les données cliniques de Cypaura, 71 % des femmes observent des poils visiblement plus fins après 8 semaines d’utilisation sur le visage, contre 10 à 12 semaines pour les zones corporelles.



    Les solutions non hormonales : une approche respectueuse

    Il existe deux grandes familles de solutions contre la pilosité faciale :

    • Les traitements systémiques (pilule anti-androgène, spironolactone) → agissent sur l’ensemble de l’organisme
    • Les solutions locales (crèmes, huiles, sérum) → agissent uniquement sur la zone traitée

    Pour les femmes qui souhaitent éviter une intervention hormonale globale ou qui ne peuvent pas en raison de contre-indications les solutions locales sont une alternative précieuse.

    Certaines formules modernes, comme celles à base de Cyperus Rotundus, offrent une action strictement locale.

    L’actif pénètre jusqu’au follicule pileux, inhibe l’enzyme 5α-réductase et affaiblit la structure du poil sans passer dans la circulation sanguine.

    Cette spécificité en fait une option sûre même en cas de SOPK, ménopause ou allaitement.



    Intégrer une routine douce dans votre quotidien beauté

    Étapes clés pour une application efficace

    1. Épiler d’abord
      Utilisez votre méthode habituelle : pince à épiler, cire, rasoir facial ou épilateur. L’essentiel est que la peau soit sans poils pour permettre au sérum d’atteindre le follicule.

    2. Nettoyer et sécher
      Une peau propre et sèche est essentielle pour éviter les irritations et favoriser la pénétration. Un nettoyage à l’eau tiède suffit.

    3. Appliquer la bonne quantité

      • Lèvre supérieure : 2–3 gouttes
      • Menton : 3–4 gouttes
      • Joues : 2 gouttes par zone

    4. Massez doucement
      Effectuez des mouvements circulaires pendant 30 secondes à 1 minute pour favoriser l’absorption.

    5. Répétez matin et soir
      La constance est la clé : deux applications quotidiennes maximisent l’efficacité.

    Précautions d’usage

    • Évitez le contour immédiat des yeux (à 1 cm minimum)
    • N’appliquez pas sur les muqueuses (lèvres, narines, partie génitale)
    • Faites un test cutané si vous avez la peau très sensible, rosacée ou sujette à l’eczéma
    • Attendez 2–3 heures après une épilation à la cire pour laisser la peau se calmer



    Témoignages réels : retrouver confiance sans complexe

    De nombreuses femmes rapportent que, après 6 à 8 semaines d’utilisation régulière, leur duvet devient presque invisible, réduisant ou supprimant le besoin de fond de teint correcteur.

    Ce bénéfice psychologique retrouver la liberté de sortir sans se soucier de son apparence — est souvent cité comme le principal avantage.

    « Après 8 semaines, mon duvet est devenu tellement fin qu’on ne le voit presque plus. Je n’ai plus besoin de me maquiller pour le cacher. »
    — Sophie, 34 ans, Montréal

    « Enfin, je peux aller à la plage sans stress. Même en bikini, je me sens à l’aise. »
    — Jessica, 36 ans, Laval


    Ces témoignages reflètent une transformation bien réelle : non pas une disparition totale des poils, mais une atténuation suffisante pour que la pilosité ne soit plus un frein à la vie sociale ou à la confiance en soi.



    Quand consulter un professionnel de santé ?

    Bien que la pilosité faciale soit souvent bénigne, il est recommandé de consulter un médecin ou un dermatologue si :

    • Les poils apparaissent soudainement et de façon agressive
    • Ils s’accompagnent d’acné sévère, de chute de cheveux ou d’irrégularités menstruelles
    • Vous avez des antécédents familiaux de troubles hormonaux

    Un bilan hormonal simple (dosage de la testostérone, SHBG, DHEA-S) peut aider à poser un diagnostic précis et à orienter vers un traitement adapté.